Jean-Pierre Atsidri , premier vice-président coordonnateur de la société civile forces vives du territoire de Watsa est sorti de son silence face aux désordres perpétrés ces derniers jours au sein de sa structure , mettant ainsi en cause son mandat et celui de ses collaborateurs acquis légalement lors de la dernière assemblée générale et élective.
Il l'a dit ce mardi 27 Juin après l'interpellation de Azomutounde Batugodi REMACLE, notable et vice-président de la ligue MBILA , d'organiser une nouvelle assemblée générale et élective afin d'élire des candidats compétents qui travailleront pour l'intérêt de la population .
Pour Jean-Pierre Atsidri , l'élection déroulée l'an dernier , sous la houlette de coordonnateur provincial de cette structure citoyenne, l'abbé Georges SEMENDE, et son équipe aurait respecté le statut et toutes les normes qu'il faut.
Contrairement aux dires des gens , Cette bouche autorisée de la communauté a indiqué que toutes les associations , au total 300 venues de tous les coins et recoins du territoire de Watsa avaient répondu présent à cette grande messe .
A propos des incidents qui ont occasionné des dégâts la semaine dernière au bureau territorial de la société civile forces vives , Jean-Pierre Atsidri dénonce une main noire et une manipulation des jeunes par des responsables d'une coopérative minière après avoir dénoncé tout haut l'enterrement clandestin et dans les conditions inhumaines d'un Jeune homme nommé JUNIOR , décédé dans le site d'exploitation artisanale des chinois situé à Galako, au secteur Kibali.
Appelant la population au calme , il invite de l'occasion les aspirants politiques d'eviter le méli mélo et les récupérations au nom des Structures des sociétés civiles installées en territoire de Watsa .
Redaction
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