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Haut-Uélé/Watsa :Alors que les journées villes mortes et d'autres manifestations sont maintenues à Tora , certaines coordinations territoriales des sociétés Civiles manoeuvrent pour les étouffer

 
C'est du Tohu bohu dans les structures citoyennes en territoire de Watsa , dans la province du Haut-Uélé .  Si les Uns dans ces structures militent pour faire respecter la loi et défendre les intérêts de la population , les autres au contraire visent leur ventre et l'enrichissement au dos de la population . 

Ce modus operandi en territoire de Watsa qui a pris une allure utopique depuis un certain temps dans les structures citoyennes  pousse la communauté à discréditer nombreuses de ces sociétés Civiles,  qui sont dirigées en majorité par les assoiffés d'argent et opportunistes ,qui opèrent non pour défendre les intérêts de la population , mais pour se faire des fortunes . 

En territoire de Watsa , dans le Haut-Uélé, elles sont  quatre structures citoyennes dont la Nouvelle société civile congolaise , la Société Civile Forces Vives , la société civile du Congo et la société civile de la RDC , avec leurs sous-coordinations au  Secteur Kibali ,  qui disent militer pour l'intérêt de la communauté . Ces structures citoyennes dont le dénominateur commun est la défense d'intérêts de la  communauté ont toujours eu du mal à s'entendre pour un objectif commun , chacune des parties agit de son côté et chacune vise son intérêt , ce qui renvoie mettes fois à des confusions et dérapages graves dans certaines  parmi elles  . 

A Tora , au secteur Kibali , en territoire de Watsa , la synergie des sociétés Civiles ( la Nouvelle société civile congolaise  et la société civile du Congo ) a ,à partir de ce lundi 14 Novembre , décrété deux journées ville morte , sanctionnées d'une marche pacifique ce mardi et une descente sur terrain au lieu d'exploitation artisanale ce mercredi 16 novembre en vue de revendiquer le retrait de la coopérative minière LIZOZO LAMUKA dans les sites d'exploitation ,laquelle entretiens des sujets étrangers chinois pour une exploitation abusive des minerais sans tenir compte de cahier des charges de la communauté.

Cette activité qui s'annonce avec une haute couleur à Tora , car la communauté s'est dite déterminée à revendiquer ses droits et en finir avec cette coopérative minière ,est combattue en dessous de couverture par certaines coordinations territoriales  des sociétés Civiles bien connues à Watsa.

Les sources sûres de Pressecongo.com renseignent que certains coordonnateurs territoriaux dont nous taisons de citer  le nom font des réunions nocturnes et se liguent pour descendre à Tora ce mardi 15 Novembre, jour de marche Pacifique  avec la direction de cette coopérative déchue pour tabler sur la situation à l'amiable , alors que le Directeur général de  cette dernière avait été interpellé bien avant .

Une autre source digne de foi a fait savoir que ces coordonnateurs territoriaux auraient supplier leurs sous-coordonnateurs de cesser le feu car chacun aurait son enveloppe costaude à la fin cette table-ronde . Tous ces complots ont pour objectif de taire la vérité et laisser la population dans l'éternelle souffrance , alors que certains coordonnateurs ont usé en amont une méfiance et négligence à l'égard de leurs subalternes qui militaient pour l'intérêt de la population de Tora. 

Certains coordonnateurs territoriaux contactés par votre média se réservent de se prononcer sur ces  revendications , alors que d'autres  disent les  soutenir car elles visent avant tout l'intérêt et le Social de la population de Tora . C'est ici que  le principe de deux poids , deux mesures fait son apparition . 

Les autres informations venues de Tora , confirmées à Votre média ont également indiqué qu'un coordonnateur d'une structure de la  société civile bien connue à Watsa était à Tora bien avant  pour boycotter ces manifestations , il aurait reçu une enveloppe d'environs 200 ( deux-cents ) dollars américains en titre de corruption de la part de ladite coopérative , mais ce dernier n'a malheureusement pas  été  accueilli ni par le chef du village , ni par la population autochtone de Tora .

Malgré toutes ces manœuvres dilatoires , les activités restent maintenues telles qu'elles ont été planifiées . 

La synergie des sociétés Civiles du secteur Kibali signalent à votre média saisir tous les services et bureaux de l'Etat pour informer sur le déroulement de ces activités . 

La population de Tora et les associations dudit groupement  restent sereines et déterminées à accompagner cette manifestation et revendiquer tout haut leur droit foulé au pied .

Tous nos efforts pour entrer en contact avec les autorités territoriales sont restés sans succès . 

Qui Vivra verra !!!

Redaction