Les élèves en colère protestaient contre le taux exorbitant des frais de participation aux épreuves nationales, ont vandalisé les bâtiments de l’institut Bubanji et Nkesha ce jeudi 28 avril.
Ces élèves ont pris d’assaut les installations de la division provinciale de l’enseignement et ont procédé à la salle besogne en caillassant les vitres du bureau du directeur de la province éducationnelle Kasaï Oriental 1. Le directeur provincial de l’EPST Kasaï Oriental 1 condamne ces actes d’une rare barbarie et accuse le collectif sauvons le Kasaï Oriental d’être à la base de l’instrumentalisation fes ces élèves
« Nous dénonçons avec la dernière énergie ces actes de barbarie et nous tenons pour responsable le collectif sauvons le Kasaï Oriental. Il y a 24h que nous avons lu un article sur une lettre qui a été adressé par ce collectif à la gouverneure de province. Dans cette lettre les initiateurs ont directement annoncé qu’ils vont utiliser les élèves, les enseignants et les parents d’élèves pour mener ce genrezde désordre. Et aujourd’hui nous venons de subirces actes de barnarie. Ce collectif doit assumer la responsabilité de ce vient de se passer. Et nous n’allons pas nous arrêter là. Nous irons en justice contre ce collectif pour instrumentalisation des élèves », a dit le proved Kasaï Oriental 1.
Pour, Joseph Mwinkeu Tshiend la perte des ces matériels va entraîner d’échec de plusieurs élèves de cet axe à l’examen de d’Etat et invite ces élèves à restituer les matériels emportés car ils contientrdes donneesdes finalistes de toutes les écoles de cet axe. Ces données permettent en effet à la redaction des diplômes une fois encodées.
Cité en coulisse comme une main noire derrière les élèves, les collectif sauvons le Kasaï Oreinatl ,à travers Léonard kabengela dit avoir écrit à la gouverneure intérimaire une demande de voir la Baisse des différents frais de participation aux examens d’État et la lettre n’était pas reçu
» Nous avions écrit cette lettre au gouverneure intérimaire, elle était basée sur l’arrêté du24 avril, nos lettres n’ont pas été reçues au gouvernorat mais reçues par la presse », dit-il avant d’ajouter « qu’une plainte déposée pour contre eux est
Une plainte perdue
» nous demandons aux autorités
de s’assumerr et prendre acte de la demande du collectif qui veut voislr le dos de différents frais être revu à la baisse avant de mener des actions légales pour pousser les autorités à revoir les différents frais fixés »
Signalons que ces élèves en colère ont détruit le mur de la cloture, caillassés les portye de quelques salles de classe et vandalisés systmatiquement les installations hygiéniques. Ce groupe d’élèves a aussi emporté quelques matériels et biens des inspecteurs et de l’ecole.
Sosthene Ciyamba